3 choses que j’ai apprises en faisant attention à mes habitudes alimentaires

 

 

J’ai suivi ce que j’ai mangé pendant une semaine, j’ai parlé à une diététicienne de la façon dont je peux améliorer mes habitudes alimentaires et j’ai passé une semaine à essayer de mieux faire. Voici ce que j’ai appris.

En effet, améliorer mes habitudes alimentaires me permettrait de me remettre en forme et perdre du poids (surtout suivre cette méthode pour éliminer ma culotte de cheval).

 

1. Je devrais commencer à manger plus tôt dans la journée

Souvent, je ne prends pas de petit-déjeuner, ce qui signifie que je suis affamé à l’heure du déjeuner. Si je décide de prendre un repas le matin, il s’agit souvent de deux morceaux de pain grillé avec du beurre. 

 

« Une fois que nous sommes « affamés », nous sommes beaucoup plus susceptibles de saisir la chose la plus proche disponible ou l’aliment le plus pratique plutôt que l’aliment le plus nutritif. Avec un peu de préparation, ce qui ne signifie pas forcément cuisiner, vous pouvez vous assurer d’avoir toujours une bonne option à portée de main. En ayant quelques options surgelées saines (comme des hamburgers de dinde et des légumes biologiques surgelés) ou même un poulet rôti que vous achetez au magasin prêt à l’emploi, vous pouvez éviter cela. »

 

2. Je mange beaucoup d’aliments malsains

Mon déjeuner de prédilection, un sandwich au beurre de cacahuète et à la confiture (En gros, c’est comme si j’avais les habitudes alimentaires d’un enfant de 10 ans, mais j’aime surtout ce « repas » parce qu’il est super rapide et que je peux le manger à mon bureau en écrivant). J’utilise de la confiture de fraise qui n’est pas spécialement bonne pour moi et du pain complet qui traîne. À la maison, tous les mercredis, nous mangeons des pommes de terre au four garnies de divers aliments. Je mets souvent du yaourt grec et une centaine de jalapeños marinés. C’est facile et peu coûteux et en quelque sorte amusant  mais sous les garnitures savoureuses, c’est un repas très calorique.

 

Le problème est que je ne bénéficie pas d’un large éventail de nutriments. Les nutritionnistes disent souvent de « manger l’arc-en-ciel », c’est-à-dire de choisir des fruits et des légumes de différentes couleurs. En effet, les phytonutriments qui confèrent aux produits leurs qualités nutritionnelles sont aussi généralement ceux qui leur donnent leur couleur. Donc, plus vous mangez de couleurs, plus vous consommez de nutriments. Mon régime monochrome présente clairement des lacunes.

 

3. Ma routine de cuisson en grande quantité aurait besoin d’une mise à niveau

Pour le dîner, la commodité règne en maître. Je prépare généralement un pot de haricots rouges et de riz dans la mijoteuse le lundi et je prévois d’en manger pendant quelques jours au cours de la semaine. Mon autre plat préféré pour le dîner est le quinoa garni de haricots noirs, d’avocat et de sauce piquante. Mon mari et moi en mangeons TOUT LE TEMPS parce que c’est sain et abordable.

La nutritionniste suggère que j’échange mon riz et mes haricots à la mijoteuse contre du chili. « Pour les végétaliens et les végétariens, ils peuvent s’en tenir à une variété de haricots comme source de protéines. Pour les mangeurs de viande, je recommande de la dinde maigre à viande blanche ou du blanc de poulet « , dit-elle. « C’est aussi un excellent moyen de faire entrer des tonnes de légumes, car plus vous hachez et ajoutez de légumes, plus vous obtenez de volume par portion ! » Au cours de ma semaine d’essai d’une alimentation plus saine, j’essaie le chili sain qu’elle me suggère, chargé de haricots blancs, de chou frisé, de bouillon, d’oignon, d’ail et de tomate ; un tas d’aliments bons pour la santé qui ne coûtent qu’environ 10 euros. C’est fade. J’ajoute du bacon haché, ce qui relève vraiment la saveur.

Mais au troisième jour, je suis très fatiguée du chili aux haricots blancs. J’ai des flashbacks d’un régime de soupe au chou mal conçu de quand j’étais au lycée. La nutritionniste dit que le congélateur est mon ami. Elle me suggère de faire un gros repas en une seule fois, mais plutôt que de manger la même chose tous les jours de la semaine, d’en laisser quelques portions et de congeler le reste dans des récipients Tupperware individuels. Ainsi, je congèle le reste de mon chili et je prépare un lot de boulettes de viande de dinde que je servirai  pour le dîner. (Bon marché et à la mode !) Il en reste beaucoup, alors mon mari et moi mangeons à nouveau les boulettes le lendemain soir sur du riz au chou-fleur.

 

 

 

 

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